La notion d'optimum évoque souvent celle de maximum ou de minimum d'une fonction qui, comme un fluide, évoluerait de manière continue, et même dérivable. L'arsenal de l'analyse et du calcul différentiel s'impose alors à l'esprit.
Mais l'optimisation concerne aussi, souvent, des quantités ne pouvant prendre qu'un nombre fini ou dénombrable de valeurs. Si l'éventail des techniques issues de l'analyse n'est alors plus d'aucun secours, les mathématiques discrètes et la théorie des graphes prennent le relais. C'est l'ordinateur, machine séquentielle la mieux adaptée aux environnements combinatoires, qui sera alors, le plus souvent, mis à contribution pour résoudre les problèmes d'optimum.
Mais l'optimisation concerne aussi, souvent, des quantités ne pouvant prendre qu'un nombre fini ou dénombrable de valeurs. Si l'éventail des techniques issues de l'analyse n'est alors plus d'aucun secours, les mathématiques discrètes et la théorie des graphes prennent le relais. C'est l'ordinateur, machine séquentielle la mieux adaptée aux environnements combinatoires, qui sera alors, le plus souvent, mis à contribution pour résoudre les problèmes d'optimum.
